Le fléau qu’est le cancer

Depuis quelque temps, certains médecins et d’autres professionnels de la santé mettent un lien entre le cancer et les émotions. C’est-à-dire que, pour eux, des émotions peuvent provoquer et développer un cancer. Il faut avouer que c’est une idée tout à fait nouvelle puisque depuis toujours, on a toujours associé un cancer à l’environnement, autrement dit la pollution, les insecticides et les pesticides, etc. On a toujours cru qu’un cancer était favorisé par le tabagisme, l’alcool, la drogue, le manque d’activités physiques, c’est-à-dire un mode de vie sédentaire. Mais de là à dire que les émotions peuvent être assez fortes pour déclencher un cancer, on ne sait que penser.

Le quotidien d’une personne atteinte du cancer

Les chiffres sont effrayants en rapport avec le cancer : il semblerait qu’une personne sur 2 sera touchée par le cancer, homme et femme. Fort heureusement, les moyens de prévention, de dépistage et les soins permettent à de nombreux malades du cancer d’être complètement remis. Mais vivre le cancer au quotidien n’est pas une mince affaire, aussi bien sur le plan physique qu’émotionnel. Et il a été constaté qu’en fait, comprendre et maîtriser ses émotions influence grandement sur le processus de guérison. Il est de fait que nos émotions impactent sur notre état d’esprit, que nous soyons malades ou en bonne santé. Par exemple, on sait que le stress affecte gravement notre santé, c’en est le premier ennemi. Alors, il n’y a qu’un pas pour comprendre que les émotions peuvent aussi influencer le cancer et sa guérison.

Les activités positives et le cancer

On peut citer l’art, tel que la musique, la danse, la peinture ou la sculpture, comme un moyen d’extérioriser ses ressentis et qui peut apporter de nombreux bienfaits aux personnes malades du cancer. Le rire et le sourire aident également à réduire sérieusement le stress et les malades augmentent considérablement leur sensation de bien-être. La famille et les amis peuvent contribuer grandement dans ces domaines, en tenant des sujets amusants et en passant des moments de qualité avec leur proche malade. La communication est aussi une activité hautement positive qui impacte en bien sur l’état d’un malade. Garder un lien social est donc un moyen de sortir de la solitude, de se sentir soutenu(e) et surtout, d’être écouté(e). Les malades du cancer peuvent aussi essayer de comprendre vraiment leurs ressentis et pouvoir ainsi maîtriser, et anticiper, les conséquences de leur maladie sur leur mental.

L’errance diagnostique

Une maladie rare (comme l’anomalie du tube neural, la paralysie cérébrale, etc.) ne touche qu’un faible nombre de patients. La communauté médicale dispose par conséquent de très peu d’informations concernant la majorité de ces maladies. Cela peut causer de nombreux problèmes aux personnes qui en sont atteintes. En effet, il arrive souvent que les professionnels de la santé ne sachent pas diagnostiquer la maladie. Cela peut conduire à une absence de traitement efficace sur une longue période. Selon la rareté de la maladie, il est parfois nécessaire de consulter de nombreux médecins pour tenter d’identifier ladite pathologie. Dans certains cas, l’on ne peut obtenir un diagnostic qu’après un an ou plus. La maladie peut alors être orpheline de traitement, c’est pourquoi ce type de maladie est également appelée maladie orpheline. Les traitements offerts servent souvent à atténuer les symptômes et non à éradiquer la pathologie vu que les causes de cette dernière demeurent inconnues.

Les problèmes d’ordre social

Selon sa gravité, une maladie rare peut fortement nuire à une personne sur le plan social. Environ 50 % des personnes adultes atteintes d’une maladie rare n’ont par exemple pas accès à un travail. Cela les rend vulnérables socialement et réduit leurs moyens d’accéder à un traitement adéquat. En effet, une personne atteinte d’une maladie rare doit souvent consulter différents experts et essayer différents traitements. Ces derniers, souvent inefficaces, peuvent devenir très onéreux sur le long terme. Or, sans travail, il est difficile de financer la recherche de traitements. Le patient doit de ce fait s’en remettre à ses proches.
Par ailleurs, la maladie peut entraîner l’isolement du patient : il peut être difficile de faire face aux gens lorsque vous avez une maladie qu’ils ne comprennent pas. Même certains médecins peuvent baisser les bras face à l’énigme que représente la maladie rare. Le patient sera par conséquent moins enclin à consulter un expert.

Comment soutenir les patients atteints de maladie rare ?

La lutte pour l’égalité des droits des personnes en situation de handicap ne cesse de s’améliorer. C’est pour cette raison que les personnes atteintes de maladies rares sont de plus en plus acceptées par la société. La scolarisation des enfants atteints de maladie rare est par exemple en hausse. Cependant, de nombreux efforts doivent encore être fournis, d’autant plus que de nouvelles maladies rares sont régulièrement découvertes. Il existe heureusement différents sites comme AAEPS et des organismes qui aident à mieux connaitre certaines d’entre elles. Ces organismes sensibilisent la société de manière à faciliter l’intégration sociale des personnes ayant une maladie particulière. Ils mènent également des actions pour aider les patients à obtenir l’accompagnement dont ils ont besoin. Les nombreux progrès effectués dans le domaine de la génétique donnent par ailleurs espoir à de nombreux patients. D’ici quelques années, certaines maladies rares ayant un rapport avec la génétique, seront probablement démystifiées.

1 – Les symptômes de la maladie de Crohn

Bien que cette maladie concerne toute les âges, les personnes atteintes de la maladie de Crohn sont diagnostiquées très souvent avant que l’individu n’atteigne la trentaine.
Les indices primaires de la maladie se traduisent par des diarrhées et des douleurs après les repas.
Le manque d’appétit, un saignement rectal, des crampes abdominales et de la fièvre apparaissent durant la progression de la maladie. On constate également une sensibilité au touchée et un gonflement dans la zone de l’abdomen.
Il se peut que d’autres symptômes de la maladie de Crohn comme les douleurs articulaires et l’inflammation oculaire, ainsi que des complications cutanées, n’ayant aucun lien avec le système digestif, soient issues de l’existence de cette maladie.
Les symptômes de la maladie de Crohn ne sont pas permanents, ils peuvent apparaître d’un moment à l’autre, comme ils peuvent aussi disparaître dans des délais indéterminés avant de se manifester à nouveau. Il peut y avoir de signes d’hémorragies importantes pendant les poussées de la maladie.
Certaines personnes atteintes de la maladie de Crohn peuvent être victime d’anémie impliquant de la faiblesse et de la pâleur chez le patient.

2 – Les complications de la maladie de Crohn

Les complications peuvent être graves, une inflammation permanente de l’intestin et l’anomalie du système immunitaire du malade contribue ces complications. Ces complications peuvent apparaître sous diverses formes telles qu’une mauvaise absorption des aliments et l’obstruction partielle de l’intestin, cela entraîne des vomissements et des constipations, ainsi que des carences.
Des douleurs et des saignements peuvent apparaître suite à des fissures annales.
D’autres organes tels que la vessie, le vagin et la surface de la peau peuvent être atteintes suite à une propagation de fistules ou lésions perforant le tractus gastro-intestinal.
L’arthrite, les troubles cutanés sont également possibles à cause de la maladie.
Chez les enfants, un retard de croissance est risqué selon l’évolution des la maladie de Crohn.

3 – Les préventions de la maladie de Crohn

Des recherches ont évoqué que la vitamine D peut être un moyen de prévention de la maladie de Crohn, mais l’hypothèse n’a pas encore été démontrée.
Ce qui a été prouvée, constatation sur des études effectuées sur les canadiens, c’est que la Vitamine D joue un rôle régulateur immunitaire pour combattre l’apparition de maladie chronique et incurable.
L’absence de la vitamine D qui stimule l’activité de certains gènes s’associe à la maladie de Crohn.

4 – Les traitements de la maladie de Crohn

Les anti-inflammatoires et les antibiotiques sont les traitements souvent prescrits pour les personnes atteintes de la maladie de Corhn dans un premiers temps.
Les recherches ont évoqués que la découverte de la théorie relative à la liaison entre la Vitamine D et la maladie de Crohn peut aboutir à un traitement pharmacologique efficient, ainsi qu’à d’autres maladies inflammatoires intestinales.
La maladie de Crohn n’est pas une maladie mortelle mais peut contribuer à une vraie gêne et souffrance dans la vie du patient.