Les personnes âgées en perte d’autonomie

Généralement, une famille fait appel à une auxiliaire de vie pour assister une personne âgée en perte d’autonomie. Au lieu de la placer dans un centre spécialisé où il sera loin de sa famille, ses proches optent pour un maintien à domicile. Cette personne opère sur certains niveaux de la vie de la personne âgée :

• La préparation de la nourriture ;
• Le respect du régime alimentaire et des prescriptions médicales ;
• L’entretien du logement ;
• La toilette quotidienne ;
• Les gestes du quotidien.

Une étude récente montre que les personnes âgées en perte d’autonomie ayant fait appel à une aide à domicile vivent plus longtemps et plus heureux que dans un établissement spécialisé.

Les critères de choix d’un auxiliaire de vie

Le choix d’un auxiliaire de vie doit se faire en tenant compte de plusieurs paramètres :

• L’expérience : optez pour une aide à domicile ayant de l’expérience dans le domaine vous facilitera la tâche. Elle s’adapte plus facilement à la situation et à la personne et saura prendre soin du senior en toute circonstance ;

• Les diplômes : durant la sélection des dossiers, vérifiez les diplômes ainsi que les certifications des candidats. Une aide à domicile dotée de savoir-faire pratique certifié par une école est recommandée ;

• La posture : s’occuper d’une personne âgée demande de la patience et une personnalité douce. Faites attention à ce critère afin de choisir la bonne personne pour s’occuper du senior. Le mieux est de faire appel à une agence de recrutement spécialisée qui triera les candidatures pour vous et qui vous présentera celles qui conviendront à vos critères.

Se préparer à la méditation

Pour faire de la méditation, choisissez un endroit calme afin de créer un état d’esprit propice pour l’occasion. Coupez-vous du monde le temps de la séance. Ainsi, il faut veiller à ne pas être dérangé. L’idéal c’est d’avoir un lieu dédié spécialement à la méditation. De cette façon, vous ne serez pas perturbé par vos voisins ni par les bruits environnants. Et pensez aussi à éteindre vos Smartphones. En effet, l’installation physique constitue une étape incontournable pour amener l’installation de l’esprit dans la méditation.
Pour ce qui est de la position, trouvez une position assise confortable pour méditer. Ceux qui méditent choisissent souvent la position du lotus ou être assis en tailleur. Utilisez un coussin ou une chaise pour vous aider à trouver votre aise et à rester stable. Privilégiez les vêtements chauds et confortables, car être en position assise et immobile va refroidir votre corps rapidement.
Vos épaules doivent être relevées au maximum puis les laisser retomber naturellement. Votre dos doit être droit sans aucune raideur. Votre tête doit être un peu penchée en avant pour faciliter votre respiration.

Débuter la méditation

Une fois que vous êtes bien installé, il faut maintenant commencer à vous concentrer sur votre respiration. Prendre conscience de chaque inspiration et expiration vous permettra d’ores et déjà d’atteindre un état de relaxation qui vous conduira indéniablement vers la concentration. Par la suite, laissez vos pensées vagabonder. Différentes pensées vont alors traverser votre esprit. Mais, ne vous y accrochez pas, contentez-vous de les regarder. Tout au long de l’opération, contrôlez toujours votre respiration. Pour pousser votre concentration un peu plus loin, observez un objet. Observer cet objet placé à quelques mètres de vous tout en comptant chacune de vos inspirations et vos expirations, vous permettra d’améliorer au fur et à mesure votre concentration.

Exercer la pleine conscience

La méditation de pleine conscience est une catégorie de méditation. Elle s’adresse principalement à ceux qui sont déjà habitués à méditer. Grâce à cette technique, vous perdez le contact avec votre corps et vous ne remarquerez plus vos émotions et vos sensations mêmes les plus subtiles. La méditation pleine conscience vous pousse à vous focaliser sur l’instant présent, sur vos sensations internes et sur vos perceptions. D’ailleurs, des études ont montré que la pratique régulière de cette catégorie de méditation influe positivement sur votre bien-être émotionnel et sur la qualité de votre sommeil. Mais, elle constitue aussi un excellent moyen pour réduire les symptômes de l’anxiété et la dépression, quelles que soient leurs causes. Vous trouverez sur www.comment-mediter.info un cours de méditation pour mieux vous guider dans cette pratique.

Assurance ou non ?

Puisque votre enfant est né prématuré, il est normal que vous vous posez la question si vous devez l’assurer ou non. La réponse est oui. Il doit être obligatoirement assuré comme tous les autres bébés. Qu’il soit prématuré ne change rien au fait qu’il faut l’assurer afin que les soins de santé entre sa naissance et son troisième mois soient pris en charge. Aucune caisse-maladie ne peut refuser d’assurer votre enfant prématuré. Mais pour les assurances complémentaires facultatives, les caisses-maladies ne sont pas tenues d’assurer votre bébé. C’est seule à l’assurance de base qu’elles sont tenues d’assurer votre enfant prématuré. Sur la base du questionnaire de santé où vous serez obligé de mentionner la prématurité de votre enfant, une caisse-maladie peut refuser l’assurance.

L’assurance prénatale

En fait, l’assurance prénatale est l’unique cas où les caisses-maladies ne peuvent pas refuser l’affiliation de votre enfant. Si vous avez souscrit cette assurance avant sa naissance, qu’il soit prématuré ou non, il sera assuré pour les assurances complémentaires. Donc, si vous attendez un enfant, pour lui apporter la meilleure couverture santé possible, dès le deuxième trimestre de grossesse, pensez à l’assurance prénatale. Ne tardez pas à le faire car s’il naît prématurément, il ne pourra plus bénéficier d’une assurance complémentaire alors qu’il aura certainement besoin de nombreux soins de santé en raison de sa fragilité. L’assurance prénatale est l’assurance sur laquelle miser pour la santé de votre enfant.

L’histoire de la phytothérapie

L’origine de cette médecine douce remonte vraiment très loin. En effet, le premier recueil répertoriant des centaines de plantes médicinales est un papyrus égyptien Ebers. Celui-ci est daté de 1500 avant J.-C. Dans l’Antiquité, la phytothérapie a été largement utilisée et étudiée tout comme durant le Moyen ge. Au fil du temps, cette médecine s’est nettement améliorée et développée. En fait, la phytothérapie n’est pas du tout une nouveauté, au contraire, c’est à partir de cette science que les chimistes ont pu extraire, par synthèse, les principaux actifs des plantes pour créer des médicaments. Ces médicaments ont ensuite subi une légère modification pour un meilleur effet.

Les vertus de la médecine naturelle

Les plantes médicinales en tisanes ou en infusions sont très efficaces. La tisane est le meilleur moyen de profiter des bienfaits d’une plante. Par exemple, elle permet de rejeter les toxines de votre organisme. Grâce aux plantes médicinales, vos douleurs dans les articulations peuvent être soulagées, le transit peut être régulé. La phytothérapie est également conseillée si votre système immunitaire est affaibli ou juste pour renforcer votre mémoire. Dans tous les cas, consultez un phytothérapeute, un spécialiste en la matière, au lieu de vous soigner par vous-mêmes. Cette médecine est naturelle, certes, mais il vous faut évidemment, prendre des précautions.

Comparez les offres

Les offres en matière de mutuelle santé sont nombreuses, aussi, pour faire le bon choix, ne vous précipitez pas sur la première qui vous semble intéressante. Prenez le temps de les comparer, c’est-à-dire comparer les services offerts par contrat et de comparer poste par poste chaque contrat. C’est assez facile de faire cette comparaison sur le Net car vous trouverez un tableau comparatif des offres actuelles et un tableau présentant les avantages et les inconvénients de tous les contrats proposés. Mais si vous n’y comprenez rien, il serait peut-être plus sage de faire appel à un courtier pour vous aider. Dans tous les cas, comparez !

Entre assurance santé et mutuelle santé, laquelle est la meilleure ?

Vous hésitez peut-être entre une assurance santé et une mutuelle santé et vous vous demandez ce qui serait la meilleure solution pour vous. A la base, l’objectif de l’une et de l’autre est exactement le même : vous rembourser l’intégralité ou une partie des frais médicaux que la Sécurité Sociale ne rembourse pas. Maintenant, si l’appellation est différente, c’est qu’il y a une légère différence, mais seulement au niveau du statut de l’une et de l’autre. Une assurance santé est à but lucratif alors que les mutuelles ne sont nullement à but lucratif.

Les réflexes à adopter

Bien sûr, c’est tellement tentant d’aller dans un bar à sourire et de se faire blanchir les dents en une poignée de minutes. Mais est-ce une façon suffisante de prendre soin de vos dents ? Nullement ! En fait, en cas de maladies des gencives, de caries et d’émail fragile, un tel blanchiment est contre-indiqué. Ayez pour réflexe de voir votre dentiste une fois tous les 6 mois pour un contrôle complet et pour un éventuel détartrage. Surtout, abandonnez l’habitude d’attendre d’avoir mal avant de consulter. Une dent en mauvais état peut entraîner un problème de santé qui peut s’aggraver avec le temps.

Faites le détartrage de vos dents vous-même

Pourquoi allez payer un détartrage que vous pouvez réaliser vous-même ? Pour cela, faites chauffer un verre de vinaigre blanc et lorsqu’il est tiède, faites un bain de bouche avec pendant une petite minute. Pour enlever l’acidité du vinaigre, préparez un verre d’eau tiède dans laquelle vous ajouterez une cuillerée à soupe de bicarbonate, puis, rincez-vous la bouche avec. A la fin, rincez votre bouche à l’eau fraîche. Vos dents et les interstices dentaires seront détartrées. Renouvelez cette opération deux ou trois fois l’an et seulement si vous avez des dents en bonne santé.

Quand est-ce que le test est légal ?

Dans le cas d’une affaire criminelle, on peut utiliser le test ADN pour identifier le coupable. Il faut alors prélever de l’ADN sur la scène du crime et le comparer avec celui du suspect. S’il n’y a pas de suspect précis, on entre l’ADN dans les bases de données. Cette méthode rentre dans le cadre de la loi.
Il arrive aussi que le tribunal accepte et donne l’autorisation à un particulier de faire un test ADN dans le cas où cette personne veut retrouver ses parents biologiques.

Evolution du cadre

Il fut un temps où n’importe qui pouvait demander à faire un test ADN. Il était possible de le faire dans la plupart des hôpitaux et laboratoires et même sur internet. Mais cette démocratisation de l’outil a entrainé plusieurs problèmes notamment la divulgation d’informations confidentielles ou encore la fragilisation des liens et rapports au sein des familles. Le test qui se voulait prouver l’existence de liens est vite devenu un outil capable de les briser en créant le doute chez certains.
Suite à ces problèmes, les tests ADN ont été interdits dans plusieurs pays, notamment en France. Désormais, les tests ADN ne peuvent se faire qu’après obtention d’une ordonnance venant d’un juge.

Quelles sont les exclusions de garantie des contrats santé ?

Mutuelle santé, assurance santé ou complémentaire santé, toutes ont des exclusions de garanties qui sont à peu près les mêmes. Ces exclusions sont en principe liées à certains comportements de l’assuré. De quoi parle-t-on ? En cas de blessures à cause d’un abus d’alcool, d’une tentative de suicide, des blessures ou dommages suite à une bagarre par exemple, il y a exclusion de garantie. Se faire soigner dans certains lieux peut aussi constituer une exclusion de garantie, par exemple, les centres de cures de sommeil, les centres de longs séjours, les centres de thalassothérapie, des centres hélio-marins ou les centres de désintoxication, etc. Certains actes aussi sont exclus des contrats de santé, tels que la chirurgie esthétique à but purement esthétique, des traitements au laser, etc.

Conditions générales et particulières

Tout contrat santé est constitué de deux parties, d’abord les conditions générales puis les conditions particulières. Les conditions générales consistent en informations sur les conditions d’application des services de la mutuelle, de l’assurance ou de la complémentaire, sur le plan légal. Les termes n’en sont pas modifiables et régis par le code de la mutualité ou celui des assurances. Les conditions particulières sont celles de votre contrat, personnalisées, et établies selon vos choix. Sachez que ces conditions particulières l’emportent toujours sur les conditions générales en cas de litige.

Causes de lombalgies spécifiques aux femmes

Certaines causes de lombalgie sont spécifiques aux femmes. Il s’agit notamment des affections énumérées ci-dessous.

• Syndrome prémenstruel (SPM)
  Le syndrome prémenstruel est une condition que beaucoup de femmes ont avant leurs règles. Il présente de nombreux symptômes potentiels, et vous ne les aurez probablement pas tous. En gros, les symptômes comprennent :

les symptômes physiques, tels que :
– douleurs lombaires
– mal de tête
– fatigue
– boursouflage
Le syndrome prémenstruel commence généralement quelques jours avant le début de vos règles et se termine un jour ou deux après le début de celles-ci.

• Trouble dysmorphique prémenstruel (PMDD)
  Le PMDD est une forme plus grave de SPM, dont les symptômes interfèrent considérablement avec la vie quotidienne. Certaines personnes atteintes de PMDD peuvent même avoir des difficultés à fonctionner lorsqu’elles présentent des symptômes. Les femmes sont moins nombreuses à souffrir de PMDD que de SPM. Les symptômes émotionnels, comportementaux et physiques du PMDD sont similaires à ceux du SPM. Cependant, tous les types de symptômes peuvent être plus graves. Les symptômes commencent généralement la semaine précédant vos règles et se terminent quelques jours après l’apparition de celles-ci.
• Endométriose
  L’endométriose est une affection dans laquelle le tissu qui tapisse l’utérus, appelé tissu endométrial, se développe à l’extérieur de l’utérus.

Dans le cas de l’endométriose, ce tissu se développe souvent sur les ovaires, les trompes de Fallope et d’autres tissus qui tapissent le pelvis. Il peut même se développer autour des voies urinaires et de l’intestin.

La douleur est le symptôme le plus fréquent de l’endométriose. Parmi les autres symptômes, on peut citer

– des crampes menstruelles très douloureuses
– la douleur pendant ou après les rapports sexuels
– douleurs lombaires et pelviennes
– des douleurs lors des selles ou de la miction lorsque vous avez vos règles
L’endométriose peut également provoquer des saignements ou des taches entre vos règles. Les problèmes digestifs comme les ballonnements et la diarrhée peuvent également être fréquents, surtout pendant les règles. L’endométriose peut rendre votre grossesse plus difficile.

• Dysménorrhée
  Les menstruations très douloureuses sont connues sous le nom de dysménorrhée. Bien qu’elle soit généralement gérable, elle peut être très grave chez certaines personnes. Vous pouvez être plus à risque de souffrir de dysménorrhée si vous avez moins de 20 ans, si vous saignez abondamment pendant vos règles, si vous avez des antécédents familiaux de périodes douloureuses, si vous avez une maladie inflammatoire pelvienne.
• Grossesse
  Les douleurs dorsales sont fréquentes pendant la grossesse. Elles surviennent lorsque votre centre de gravité se déplace, que vous prenez du poids et que vos hormones détendent vos ligaments en vue de la naissance. Pour la plupart des femmes, les douleurs dorsales surviennent entre le cinquième et le septième mois de la grossesse, mais elles peuvent apparaître beaucoup plus tôt. Vous risquez davantage d’avoir mal au dos pendant la grossesse si vous avez déjà des problèmes au bas du dos.

Bien dormir pour renforcer sa mémoire

Certains scientifiques ont mené des recherches sur la relation entre le sommeil et la capacité de mémorisation. Le fruit de leurs recherches a ainsi démontré qu’effectivement, un sommeil de bonne qualité peut renforcer la mémorisation de certains sujets. Mais il ne suffit pas de dormir pour que cette cause à effet porte ses fruits. La qualité du sommeil a une grande influence là-dessus.
En effet, il est essentiel de remplir les heures de sommeil nécessaires au corps pour que ses bienfaits s’en ressentent. La durée moyenne d’heures de sommeil d’une personne varie entre 6 à 8 heures. Le manque de sommeil empêche certaines zones cérébrales de retenir des informations et de travailler la mémorisation.

Les bons réflexes du sommeil à adopter

Pour retenir un maximum d’informations avant un examen ou une présentation, il est inutile de passer une nuit blanche à étudier, car cela ne servira à rien. Le cerveau sera saturé et épuisé de travailler en continu alors qu’il a besoin de repos. Le mieux est de réviser quelques jours, voire quelques semaines avant le jour J.
Et pour faire travailler la mémoire de façon optimale, les meilleurs moments de la journée pour se mettre au travail sont au réveil ou juste avant de se coucher. Ainsi le cerveau pourra prendre le repos nécessaire tout en assimilant le maximum d’informations.